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avec comme arrière fond sonore l'orage et les trombes d'eau qui se déversent sur ma terrasse, et alors que Virginia Astley chante "it looks ok until you're there, and then you find that you're alone, i've got you here beside me, but love's a lonely place to be, surely life is worth more", Eric Laurrent écrit dans Ne pas toucher une de ses très longue phrase comme je les aime tant : "Justement je ne connais rien de plus détestable ni de plus morbide que la tendresse je ne vois personnellement en son avènement au sein d'un couple que l'indice de la ruine et de la déchéance des sentiments qui unissent ses deux membres la tendresse c'est le voile pudique et mièvre par lequel on recouvre l'indifférence croissante qu'on éprouve l'un pour l'autre sans oser se l'avouer par peur de la solitude c'est comment dire oui une myopathie du cœur d'ailleurs littéralement ce qui est tendre n'offre pas de résistance et se laisse facilement entamer c'est quelque chose de mou en somme de flasque de mort."