il est parfois bon de revenir à la Littérature, celle de Claure Louis-Combet, François Dominique, Maurice Blanchot ou encore Pierre Michon, mais ce dimanche c'est auprès de Christian Doumet que j'ai décidé de passer un moment ; et alors que Virgina Astley chante avec la fragilité d'une enfant "And light shall shine from the stars, And rain will fall on this eart, And sorrow shall pour in my heart, As the flowers appear on earth, The darkness has reached its end I'm told, And love is stronger than hate, Iron it rusts as stone decays, And force shall always...", je lis dans Feu à volonté : "Mieux voudrait renoncer, bien sûr. Mais les tristes idées sont notre pleine mer. Nous y cherchons je ne sais quelle évasion, quelle guérison contre l'intraitable épicure qui nous tient dans sa féodalité. Nous voyons bien qu'elles sont là pour nous autres, qu'on les a mises en travers du pays en notre intention, comme des pierres noires et luisantes auxquelles revenir chaque nuit, qu'on nous demande chaque nuit de repolir un peu plus afin de nous laisser, nous les tendres, les friables, par elles mieux façonner. Tristes idées !"